La nouvelle collection Mambo d’Etnia Barcelona est optimiste, éclectique et unique. Les détails soignés et des laminages minutieusement travaillés pour des maxi lunettes géométriques en acétate naturel comme s’il s’agissait d’une forme à l’intérieur d’une autre forme et dont la superposition est un éclat de couleurs contrastées. Des tons vibrants créent un résultat à la fois délicat et élaboré par les technologies de pointe.
Modèle illustré : Mambo 5
Distribution par : www.etniabarcelona.com
Crizal Rock : une combinaison contre les rayures et les salissures disponible en verres finis simple vision
Depuis la création du premier traitement Crizal® il y a plus de 29 ans, les équipes d’Essilor n’ont cessé de continuer à innover pour mettre au point des traitements toujours plus performants.
Crizal® Rock : une durabilité comme aucune auparavant
Depuis le 1er septembre 2020, le traitement Crizal® RockMC est disponible sur les verres surfacés. Essilor annonce l’arrivée du traitement Crizal® RockMC en verres finis simple vision dès le 14 septembre 2021.
Grâce à l’unique High-Resistance Technology, le dernier né de la gamme de traitement Crizal® est un bouclier qui combine résistance aux rayures (parmi les plus élevées du marché), et facilité de nettoyage, tout en préservant les principaux attributs du traitement Crizal® : forte réduction des reflets, protection des UV (en face arrière) et propriétés anti-poussières et hydrofuges supérieures.
Les traitements Crizal® ont été conçus pour affronter tous les aléas du quotidien. Le traitement Crizal® RockMC offre un confort de vision optimal et répond ainsi aux besoins des porteurs de lunettes chaque jour.
Des outils d’information et de marketing pour les professionnels de la vue
Crizal® RockMC est trois fois plus résistant aux rayures que le traitement d’entrée de gamme de Crizal® . En savoir plus
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Le processus de vote est non-accessible pour les électeurs ayant une perte de vision alors que les Canadiens sont appelés aux urnes
Les Canadiens se rendront aux urnes le 20 septembre pour exercer leurs droits démocratiques de voter, soit à leur bureau de vote les jours de vote par anticipation, soit en envoyant leur bulletin de vote par la poste ou alors le jour de l’élection. Cependant, pour les Canadiens vivant avec une perte de vision, voter n’est pas aussi simple que de se rendre dans un isoloir et de cocher un nom sur un bulletin de vote ou de faire la demande pour voter par la poste.
Cette situation est particulièrement problématique dans le contexte de la pandémie de COVID-19, car de nombreux Canadiens choisiront de voter par la poste. Selon Élections Canada, jusqu’à 4 millions de Canadiens choisiront ce processus de vote lors d’une élection en temps de pandémie.
Cependant, le million et demi de Canadiens aveugles ou vivant avec une vision partielle ne peuvent utiliser cette option, car les bulletins de vote par la poste ne sont pas accompagnés d’outils ni de services accessibles mis à leur disposition dans les bureaux de vote. Ces outils aident les électeurs incapables de lire les imprimés à marquer leur bulletin de manière autonome.
Élections Canada a apporté des améliorations au fil des ans et propose des gabarits tactiles, des listes de candidats en braille et en gros caractères, ainsi que des loupes pour les électeurs ayant une perte de vision – mais il reste encore beaucoup à faire pour que ces Canadiens puissent marquer et valider leurs bulletins de vote de manière autonome.
« Les Canadiens vivant avec une perte de vision n’ont toujours pas la possibilité de marquer et de vérifier leurs bulletins de vote de manière autonome », affirme Duane Morgan, directeur général d’INCA à Terre-Neuve-et-Labrador et au Nouveau-Brunswick, qui consulte régulièrement le Comité consultatif d’Élections Canada sur les questions touchant les personnes handicapées. « Les Canadiens voyants peuvent voter en privé, mais les personnes aveugles doivent montrer leur bulletin de vote à une personne voyante pour s’assurer qu’il est marqué comme elles le souhaitent. Cela doit changer et il n’y a aucune raison pour que ce ne le soit pas ».
INCA a présenté un certain nombre de recommandations aux députés, aux sénateurs ainsi qu’à Élections Canada afin de rendre le processus de vote accessible pour les électeurs ayant une perte de vision, notamment avec l’utilisation du vote par téléphone pour les électeurs handicapés et de machines à dépouillement électroniques dotées de fonctions audio, à l’instar des processus mis en œuvre dans les provinces et les municipalités du pays.
« Nous sommes en 2021 et nous vivons à l’ère du numérique, mais nous comptons toujours sur des crayons de plomb et des bulletins de vote en papier pour l’exercice du droit le plus fondamental d’une société libre », déclare Lui Greco, gestionnaire des affaires réglementaires à INCA. « La législation et le processus de vote dans ce pays doivent suivre le rythme de la technologie et de la législation fédérale en matière d’accessibilité pour permettre à chacun de déposer son bulletin de vote d’une manière qui lui convient ».
La technologie peut aider à mettre sur un pied d’égalité les électeurs qui sont aveugles ou ont une vision partielle. Lors des élections fédérales de 2019, certains électeurs ont pu déposer leur bulletin de vote de manière autonome en utilisant un dispositif de grossissement derrière l’isoloir, tandis que d’autres ont pu utiliser des applications sur leur téléphone intelligent. Cependant, cette méthode n’a pas été largement utilisée, car aucune politique ou procédure officielle n’était en place et certains électeurs – en particulier parmi les personnes âgées – n’avaient pas accès à un téléphone intelligent.
Si l’élection fédérale de 2021 n’est pas entièrement accessible à tous les Canadiens, INCA exhorte le gouvernement fédéral à faire de cette élection la dernière qui soit inaccessible pour les Canadiens ayant une perte de vision.
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Groupe Vision New Look s’associe avec Black Optical
Groupe Vision New Look annonce la conclusion d’un partenariat stratégique avec Black Optical. Fondée en 2007 par Gary Black, l’entreprise est un acteur de premier plan dans le segment de l’optique de luxe et de la lunetterie aux États-Unis. Black Optical exploite trois boutiques de luxe situés à Dallas, Tulsa et Oklahoma City. Gary Black restera actionnaire de la société et dirigera les efforts visant à étendre l’empreinte et la présence de Black Optical dans l’industrie.
Antoine Amiel, président et chef de la direction du Groupe Vision New Look a déclaré : « Groupe Vision New Look est entré sur le marché américain en mars 2020 avec l’acquisition du groupe Edward Beiner. Je suis ravi de franchir une nouvelle étape stratégique sous la forme d’un partenariat avec Gary Black. Notre modèle de développement mise sur des alliances avec des leaders et des équipes avec lesquels nous nous nous associons pour gérer et développer leur entreprise. Gary Black et son équipe sont réputés pour leur excellence et leur vision. »
Gary Black, le fondateur de Black Optical a déclaré : « C’est un honneur de s’associer aux leaders de l’industrie que sont Groupe Vision New Look et Antoine Amiel pour étendre la présence de Black Optical dans les soins oculaires, le service client et la mode. Nous partageons des objectifs communs pour offrir la meilleure qualité, style, esthétique et service à l’industrie, ce qui en fera un partenariat réussi avec un potentiel illimité. Ce partenariat change la donne et nous sommes prêts à poursuivre. »
Le Groupe Vision New Look possède un réseau de près de 450 succursales opérant principalement sous les bannières Iris, Lunetterie New Look, Vogue Optical, Greiche & Scaff et Edward Beiner, ainsi qu’un laboratoire utilisant des technologies de pointe.
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L’optogénétique restaure partiellement la vision chez un patient souffrant de rétinite pigmentaire avancée
Des scientifiques ont indiqué qu’un patient a récupéré la vue partiellement dans un essai clinique de thérapie optogénétique de phase I/II. L’étude commanditée par GenSight Biologics a été publiée dans le journal Nature Medicine.
Lorsqu’une personne souffre de dégénérescence rétinienne avancée, les photorécepteurs meurent, ce qui fait en sorte qu’elle ne peut plus capter les signaux lumineux ou distinguer la forme des images. Les scientifiques étudient s’ils peuvent transformer les autres cellules rétiniennes survivantes, comme les cellules ganglionnaires de la rétine (CGR) en capteurs de lumière à l’aide d’une technique appelée optogénétique.
En ce qui a trait à l’optogénétique, un gène produisant des protéines sensibles à la lumière, comme des CGR, est ajouté aux cellules rétiniennes. Lorsqu’une longueur d’onde de la lumière spécifique active la cellule, la protéine sensible à la lumière change de forme et active et désactive la cellule.
Dans cette étude, une thérapie génique (appelée GS030) ajoute un gène à une protéine d’algue dans les CGR. Ensuite, le patient porte des lunettes saisissant des images qui amplifient les signaux lumineux et les transforment en longueurs d’onde de la lumière de couleur ambre, ce qui active l’opsine.
Cette étude présente les résultats d’un Français de 58 ans qui, avant le traitement, pouvait percevoir la lumière, mais il n’arrivait pas à distinguer les formes. Après seulement quelques mois de traitement, il pouvait voir les lignes blanches des passages pour piétons et trouver des objets sur une table. Sa vue s’est améliorée, mais il ne peut toujours pas voir les couleurs ou distinguer les visages ou les lettres. Néanmoins, c’est un grand pas pour le domaine de l’optogénétique et cette avancée
laisse espérer que ces techniques pourraient représenter une option de traitement viable pour les personnes souffrant de dégénérescence rétinienne avancée.
Cette étude a été réalisée auprès d’une seule personne. L’essai complet comprendra jusqu’à 15 participants. Il sera important de vérifier si la portée de la sécurité et de l’efficacité sera la même pour un plus grand nombre de personnes au cours des prochaines années.