Découvrez la nouvelle gamme de montures pour hommes de Salvatore Ferragamo : une élégante sélection inspirée de la Toscane. Dotée de formes rectangulaires, de lignes arrondies et de styles aviateur classiques, la collection explore les matériaux brillants, des combinaisons inattendues et de fins éléments décoratifs.
Les verres sont offerts en différente teintes qui évoquent la campagne toscane, et le contour rappelle la lumière unique que l’on y retrouve en fin de journée, juste avant le coucher du soleil.
Un
service à la clientèle de qualité commence par les personnes qui l’offrent
Lors d’un transfert de propriété,
il est important que les nouveaux employés maintiennent les mêmes normes de
qualité que le propriétaire précédent en matière de service à la clientèle durant
la période de transition, en particulier pour les bureaux d’optique qui ont su
se tailler une place grâce à un service exceptionnel.
Tel était
le cas du bureau d’optique de Perry Steigner, niché tout au fond d’un édifice
médical. Perry a su mettre à profit ses fortes aptitudes relationnelles
pour bâtir un solide bureau d’optique qui se démarquait des autres.
Au cours des 27 années d’existence
de son bureau d’optique, le service personnalisé et haut de gamme de Perry a su
attirer une clientèle régulière, même sans avoir de vitrine donnant sur la rue.
Et même s’il semblait peu probable
que son entreprise fasse l’objet d’une acquisition éventuelle en raison de ce
manque de visibilité, Perry a tout de même réussi à vendre son bureau d’optique
à IRIS en 2019.
Avec IRIS, Perry Steigner a pu
continuer à développer ce qu’il avait construit avec sa clientèle dans un nouvel
emplacement, tout en adoptant des normes mieux intégrées qui rendaient la
succursale encore plus concurrentielle.
Voici les détails de l’histoire de
Perry Steigner : soit la vente, la période de transition et le résultat.
Un
deuxième coup d’œil
Lorsque Perry a fondé son bureau
d’optique indépendant en 1993, il désirait se démarquer des magasins à grande
surface et des détaillants offrant un service en 1 heure qui surgissaient un
peu partout dans l’industrie des soins de la vue. « Je désirais revenir à
l’essentiel, soit miser sur le service à la clientèle et les relations
personnelles, et ériger un bureau d’optique en conséquence. » Son
approche amicale, ses conversations avec les clients et son dévouement envers
un service à la clientèle de qualité ont résulté en une entreprise unique qui
se démarque des autres dans un environnement de vente au détail de plus en plus
concurrentiel.
Le Dr Daryan Angle,
vice-président du développement des affaires chez IRIS, a approché Perry en
2012 au sujet d’un partenariat avec IRIS, mais le moment était mal choisi pour
Perry. Il était très intéressé par le modèle collaboratif de soins aux
patients d’IRIS, mais il n’était pas prêt à passer à l’action, car il restait
encore beaucoup de temps à son bail.
Son bureau d’optique, Medical Arts
Optical, dépendait sur la relation solide qu’il entretenait avec les
ophtalmologistes et les optométristes situés à proximité et qui recommandaient
plusieurs de leurs patients à Perry.
Alors que sa boutique poursuivait
sa solide croissance année après année, Perry s’est rendu compte, après 40 ans
dans l’industrie, qu’il lui fallait une stratégie de sortie parfaite.
Lorsque
le Dr Daryan l’a de nouveau approché en 2018, la fin de son bail approchait, et
il a alors pris la décision de conclure une entente de partenariat avec IRIS.
La
progression de la transaction
IRIS a
offert à Perry plusieurs options : il pouvait choisir de prendre un partenaire,
conserver un petit pourcentage ou vendre sa clinique dans son entièreté. Il a
décidé de vendre son bureau d’optique à 100 % et de continuer à travailler chez
IRIS en tant qu’employé.
D’autres offres lui ont été
présentées, mais toutes comportaient une clause d’indexation sur les bénéfices
futurs durant une période spécifique, tandis qu’IRIS lui offrait la possibilité
de vendre l’ensemble de son bureau d’optique immédiatement. La vente de
son bureau d’optique lui permettait de continuer à travailler tout en lui
procurant une stratégie de sortie simple.
Même s’il n’avait pas l’intention
de prendre sa retraite immédiatement, il voulait d’une stratégie qui ferait
prospérer tout ce qu’il avait construit au fil des années. « Toutes les
personnes que je connais, et j’œuvre au sein de l’industrie depuis 40 ans,
ne vendent pas leur entreprise. Ils stoppent complètement leurs activités et se
départent de la ligne téléphonique, c’est tout. »
Sa
stratégie de sortie étant bien en place et son héritage axé sur un service
exemplaire étant protégé par un partenaire responsable, il n’avait plus à se
soucier de l’avenir de son entreprise. Il a donc pris la décision de continuer
à travailler par amour de sa profession.
Un nouvel emplacement, le même excellent service, une transition
sans faille
Lorsqu’IRIS s’associe à une
entreprise, elle s’établit habituellement dans l’emplacement existant de cette
entreprise, mais cette fois-ci, Medical Arts Optical a déménagé dans une
succursale existante d’IRIS, située à un demi-kilomètre de là. IRIS s’est
assurée de conserver les caractéristiques du bureau d’optique de Perry dans le
nouvel emplacement afin que ses clients réguliers continuent de s’y rendre.
Même si
IRIS ne possède généralement pas d’instrument de taillage en succursale, Perry
a apporté le sien afin de continuer à offrir des services d’assemblage.
Huit mille dépliants expliquant les
raisons de la fusion ont été envoyés aux clients existants de Perry. IRIS s’est également
assurée de rediriger les appels de Medical Arts Optical vers la nouvelle succursale
et de conserver la voix familière de Perry sur le nouveau message de la boîte
vocale. Perry Steigner considère que la
transition a été sans faille.
Perry, qui a misé sur l’importance d’entretenir des
relations amicales avec ses clients, a transmis sa philosophie au personnel
d’IRIS : « C’est notre scène, et nous sommes des acteurs. Apprenons à
connaître ces gens et à faire différentes petites choses pour eux qui nous
différencient des autres. Ils y sont très réceptifs. » Perry a été
récompensé lorsqu’il a vu la transformation au sein du personnel, qui a
beaucoup appris en le regardant travailler.
IRIS a offert à Perry un contrat de
travail de trois ans tout en lui mentionnant qu’il pourrait rester aussi
longtemps qu’il le souhaitera. Ces trois années permettraient à IRIS
d’intégrer le bureau d’optique de Perry avec succès, et Perry était prêt à
aider de toutes les façons possibles.
Le
résultat final
Perry ne regrette pas sa décision et continue à
travailler par amour pour sa profession. Il était heureux de déménager dans un
superbe emplacement et de continuer à voir ses clients sans se préoccuper de la
gestion d’une entreprise : « Je suis content de ne plus avoir à rédiger
des chèques, à m’inquiéter des fournisseurs et à concilier des états
financiers. Je me concentre à 100 % sur la fidélisation des clients à
IRIS. »
« Comme mon comptable l’a si
bien dit : “Perry, si vous étiez à la recherche
d’une stratégie de sortie, c’est le scénario idéal – vous avez vendu votre
entreprise, vous aimez les personnes à qui vous l’avez vendue, vous êtes situé
à deux pâtés de maisons de l’endroit où vous étiez, l’emplacement est
fantastique.” C’était la
solution parfaite. »
IRIS, Le Groupe
Visuel, a accordé à Eye Care Business Canada un accès inconditionnel à quatre
professionnels de la vue qui ont conclu un partenariat ou une transaction avec
lui. Chacun se livre sur les défis auxquels ils ont dû faire face, les
obstacles qu’ils ont dû surmonter et les réussites qui font leur fierté.
Transitions Optical au Canada a annoncé que les verres
Transitions®Signature®GEN 8™style colors ont été
sélectionnés pour les prix du Produit de l’annéeMC au Canada. La
collection style colors, mettant en vedette les couleurs ambre, améthyste,
émeraude et saphir, ont été présentés aux consommateurs canadiens dans la
technologie Transitions Signature GEN 8 en mars 2020.
Le produit entrera maintenant dans la phrase de
compétition parmi d’autres finalistes afin d’être reconnu comme le gagnant du
produit de l’année au Canada. Organisé chaque année, le concours Produit de
l’année™ Canada est le plus grand prix voté par les consommateurs pour
l’innovation de produit au pays. Les gagnants seront annoncés à la mi-janvier.
« Nous savons que les consommateurs apprécient les avantages des verres Transitions®, en particulier la protection contre les rayons UV et la lumière bleue nocive, de même que l’éclat des couleurs style et les options de la collection », a déclaré Arnaud Rajchenbach, Chef marketing de Transitions Optical au Canada. « Nous ne sommes pas surpris que ces verres se soient démarqués auprès du jury comme une innovation apportant un nouveau souffle. »
Cliquez ICI pour lire le communiqué de presse complet.
Dans le numéro d’octobre-novembre du magazine Optik, notre collaborateur Jean-François Venne présente l’opticienne et designer québécoise Marie-Sophie Dion qui a créé une formule originale pour étancher la soif de montures de ses clients : le Bar à lunettes.
La différence saute aux
yeux dès que l’on entre au Bar à lunettes. Plutôt que des présentoirs, on y
trouve un espace épuré au centre duquel se dresse un « bar ». Une
fois installé, une opticienne nous propose certains modèles en fonction de nos
goûts et de notre physionomie.
Cette approche est
apparue dès la création de sa première boutique à Sherbrooke en 1992. Les
clients venaient sur rendez-vous et Mme Dion leur proposait elle-même des
modèles, qui se trouvaient à l’époque sur des présentoirs. Lorsqu’elle est
déménagée dans un plus grand local en 1999, elle a opté pour la formule
actuelle du bar central. On trouve désormais un Bar à lunettes à Sherbrooke,
Montréal, Saint-Lambert et Laval.
Depuis 2015,
Mme Dion crée sa propre collection, fabriquée au Québec. Ses produits en
acétates comportent des ponts plus petits que les montures européennes, qui
correspondent au nez généralement plus fin que l’on trouve au Québec.
L’étude de cas suivante représente l’une des premières acquisitions
d’IRIS en Ontario, soit la clinique d’optométrie de la Dre Christa
Beverly. Son histoire permettra aux professionnels de la vue de mieux
comprendre le processus d’acquisition et de partenariat d’IRIS.
La Dre
Beverly a acquis sa clinique de Barrie, en Ontario, après que l’ancienne propriétaire
s’est vue forcée de vendre en raison de problèmes de santé. Plus tard, un
nouveau partenaire d’affaires a acheté 50 % des parts de la clinique. Au fil du
temps, ils ont emménagé dans des locaux de plus en plus grands et se sont
taillés une place en tant que clinique avant-gardiste où le personnel était heureux
et les patients satisfaits.
Quelques péripéties
Le modèle
d’affaires d’IRIS les attirait et, suite à plusieurs pourparlers avec le Dr
Francis Jean (le regretté fondateur d’IRIS), la clinique s’est finalement associée
avec l’entreprise.
Suite à de
longues et difficiles négociations, ils ont conclu une entente qui comportait alors
un plan pour le lancement de deux nouvelles cliniques (ou « start-up »).
Cette entente initiale faisait en sorte qu’IRIS devenait propriétaire de
la clinique à 50 %, la Dre Beverly à 25 % et son partenaire à 25 %
également. Cependant, des contraintes familiales ayant forcé le partenaire de
la Dre Beverly à déménager, IRIS a acquis ses parts de la clinique, et
réajusté le tout, devenant ainsi propriétaire à parts égales avec la Dre
Beverly.
Les deux parties considèrent que les
négociations ont été ardues et tumultueuses. La Dre Beverly ne
démordait pas quant à l’horaire de travail. À l’époque, le modèle d’affaires
d’IRIS comportait des règlements plus stricts et exigeait que les cliniques
soient ouvertes cinq jours sur sept, ce qui ne convenait pas à la Dre
Beverly : « Je ne voulais pas que quelqu’un me dicte mon
horaire; à quel moment je pourrais prendre un après-midi de congé ou travailler
tard le soir. »
Elle a finalement obtenu gain de cause et conservé son horaire flexible qui
lui permettait de concilier travail et vie personnelle. Elle décrit cet
arrangement avec IRIS comme une « clause spéciale », un compromis entre elle et
la compagnie.
Aujourd’hui, IRIS est beaucoup plus flexible sur la question travail-vie
personnelle en général. « Le mode de vie de nos optométristes et de nos
partenaires est très important pour nous. Les horaires sont établis au moyen
d’une discussion ouverte et selon ce qui est préférable pour la clinique, les
activités commerciales et le partenaire. Au début, l’accueil et l’intégration
des nouvelles cliniques et des nouveaux membres du personnel s’avéraient
difficile, soit avant la mise en place d’une équipe dédiée à la stratégie
complète d’accueil et d’intégration », confirme le Dr Daryan Angle,
vice-président du développement des affaires.
Des leçons
durement acquises
D’autres défis
se pointaient à l’horizon. En effet, la Dre Beverly s’était associée
avec IRIS pour le lancement de deux nouveaux emplacements, et ceux-ci peinaient
à réussir.
Suite à l’échec de ce projet, IRIS a racheté les emplacements à la Dre
Beverly. Et, bien qu’elle n’ait pas obtenu la nouvelle entreprise rentable à
laquelle elle s’attendait, cela lui a évité de perdre de l’argent.
Les défis liés à l’accueil et à l’intégration
Avec la
mise en place de nouvelles normes affectant le taux de fluctuation du personnel,
les employés ont également dû s’ajuster.
La Dre Beverly a comparé le processus d’accueil et
d’intégration du début à une « chute libre ». À cette époque, le processus de
soutien à la gestion d’IRIS était moins robuste qu’il ne l’est maintenant :
« Aujourd’hui, c’est différent. Les processus sont bien établis et une équipe
dédiée à l’accueil et à l’intégration assiste les nouveaux magasins et se rend sur
place pour les aider. »
Après l’acquisition, les patients
étaient souvent sous le choc en voyant le prix affiché et le modèle d’IRIS ne
comportait pas suffisamment d’options pour les patients soucieux de leur
budget.
Depuis son acquisition par le Groupe Vision New Look inc., IRIS propose des
produits plus abordables.
IRIS offre des stratégies de sortie
Au final, la Dre Beverly croit que la vente de sa clinique
était la bonne décision à prendre et qu’elle a agi au mieux des intérêts de son
entreprise.
Même si le passage de propriétaire à employée a été difficile, elle
reconnaît qu’il y a des avantages à laisser la gestion de sa clinique à
quelqu’un d’autre : « Tout ce que j’ai à faire, c’est d’être une
optométriste. »
Cette acquisition signifie également que sa stratégie de sortie est déjà
en place pour le moment où elle décidera de vendre. En tant que partenaire de
la clinique, elle pourrait aussi prendre sa retraite tout en continuant à toucher
des dividendes, après avoir trouvé quelqu’un pour la remplacer.
C’est la solution idéale pour les optométristes qui n’aiment pas la
gestion d’entreprise ou pour ceux qui ont besoin d’un peu plus de temps dans
leur journée : « Vendre votre clinique prospère à une entreprise qui
maintiendra vos remarquables standards de qualité, rendra vos patients heureux
et les respectera, et s’assurera de conserver d’excellentes normes en matière
de soins, c’est comme la laisser entre les mains d’un ami. »
Des regrets?
Même si le processus a été difficile, la Dre Beverly ne
regrette rien : « Je crois qu’ils ont appris des erreurs survenues durant
l’acquisition de ma clinique. En ce qui concerne les autres, je crois que les
optométristes qui ont beaucoup de difficultés à laisser quelqu’un d’autre
prendre les rênes (comme moi) seront soumis à une dure épreuve. Par contre, ce
n’est pas pour cette raison qu’ils sont devenus optométristes – ils ont choisi
cette profession pour examiner les yeux des gens, pas pour gérer une
entreprise. Et c’est exactement ce qu’ils pourront faire chez IRIS et ils y seront
très heureux. En fait, c’est le scénario parfait. »
IRIS, Le Groupe
Visuel, a accordé à Eye Care Business Canada un accès inconditionnel à quatre
professionnels de la vue qui ont conclu un partenariat ou une transaction avec
lui. Chacun se livre sur les défis auxquels ils ont dû faire face, les
obstacles qu’ils ont dû surmonter et les réussites qui font leur fierté.
Beacon Therapeutics a annoncé avoir traité les premiers patients dans le cadre de leur essai VISTA de phase 2/3 portant sur une thérapie génique de la rétinite pigmentaire liée au chromosome X (XLRP).
Marchon Eyewear annonce un nouveau partenariat académique avec le Savannah College of Art and Design (SCAD), le leader mondial de l'art, du design et de l'innovation dans l'enseignement supérieur, alors que l'université lance son tout premier cours de conception de lunettes de mode.
Beacon Therapeutics a annoncé avoir traité les premiers patients dans le cadre de leur essai VISTA de phase 2/3 portant sur une thérapie génique de la rétinite pigmentaire liée au chromosome X (XLRP).
Marchon Eyewear annonce un nouveau partenariat académique avec le Savannah College of Art and Design (SCAD), le leader mondial de l'art, du design et de l'innovation dans l'enseignement supérieur, alors que l'université lance son tout premier cours de conception de lunettes de mode.
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